« Après le feu, une Voix de Fin Silence (QOL DeMAMA DAQQA) », telle est la modalité phénoménologique de l’auto-manifestation paradoxale de YHWH, au prophète Élie Le Tishbite, à la montagne de Dieu, L’Horeb (I Rois, 19, 12). Cette formule dense concentre en elle-même l’essence de la vocation prophétique, entendue précisément comme une communication intime et immédiate de Dieu dans l’âme du prophète. Cette illumination intérieure se situe dans une proximité inédite avec l’expérience mystique et montre la nécessité absolue de purifier le langage humain lorsqu’il s’expose devant le Mystère insondable, incandescent et ineffable de Dieu. Elle dévoile aussi la souveraineté absolue de Dieu dans son auto-révélation dynamique qui déconstruit les prétentions idolâtriques des Baals de la religion totalitaire, idolâtrique, marchande, virale et mondialisée des intelligences artificielles et robotiques du Covid-19.
Des annonces importantes pour la poursuite de notre Mission philosophique et prophétique mondiale du Cerclecad aujourd’hui dans le monde pour les 120 ans à venir :
I0/ C’est avec une grande action de grâce au Seigneur que je diffuse les résumés de trois précédents numéros de notre revue ‘’Afroscopie’’ qui sont déjà envoyés chez l’Éditeur, l’Harmattan à Paris, en attendant que nous trouvions de l’argent pour payer les frais d’édition. Mais, mon devoir primordial en tant que Président du Cerclecad, est de diffuser dans l’ensemble de notre réseau scientifique mondial ces trois documents denses qui donnent les synthèses de ces numéros gigantesques qui marqueront pour 120 ans la pensée africaine au XXIème et XXIIème siècle. Question de faire bénéficier nos chercheurs en Afrique qui vivent dans des villes et des universités sans aucune bibliothèque d’envergure et mise à jour au vu et au su des autorités allergiques à l’ascèse intellectuelle et rongées par la « Mangeocratie ethno-tribale. ».
II0/ Je diffuse cette Note de Travail avec une immense action de grâce à Dieu qui nous a donné une santé de fer pour pouvoir produire chaque année une revue pluridisciplinaire d’environ 1000 pages pour marquer durablement le monde de la pensée savante et émancipatrice en Afrique et dans ses diasporas subalternes dans le monde occidental. Deo Gratias et je demande à chacun/chacune de vous de lever un verre de vin rouge ou d’eau fraîche et de verser quelques gouttes par terre pour communier avec nos ancêtres et pour louer Dieu qui nous a permis de remplir notre mission en travaillant chaque jour 10 à 12 heures durant au moins 20 ans. Nous l’avons fait sans aucune subvention et sans aucun travail rémunéré pour la subsistance dans le système néolibéral et les fruits sont fulgurants aux yeux du monde entier. Le même Dieu nous donnera de l’argent en passant par tous nos membres qui peuvent donner pour accélérer la sortie de nos revues qui sont au service de la formation philosophique, critique et politique des jeunes Africains qui sont déjà des « acteurs éclairés et responsables » dans le chantier de la libération et de la reconstruction des sociétés africaines au terme de 60 ans du désastre postcolonial des « Pseudo-indépendances » de pacotille.
III0/ J’écris cette Note de Travail comme la dernière à partir du Canada, car mon sac est prêt pour me rendre dès que possible dans la grotte du prophète Élie, au pied de la montagne de Dieu, l’Horeb/Sinaï. Évidemment les confinements outranciers et la fermeture des aéroports ne faciliteront pas mon ekstase dans le désert du Sinaï avec la militarisation de cet espace explosif. Le récit de ce pèlerinage du prophète Élie est magistralement raconté dans le livre de I Rois 19, 1-21. Je me considère comme la deuxième Incarnation d’Élie Le Tishbite après Jean Baptiste et je vais loger, méditer et dormir dans la même grotte que notre Maître Élie Le Tishbite a occupé au pied de la montagne de Dieu au mois de novembre 855 av. J.C, soit près de 2855 (3000) ans depuis le pèlerinage mystique du Maître. Le prophète ne suit par son propre agenda, mais uniquement celui de Yahvé, son Maître.
IV0/ Vous verrez dans le document d’Afroscopie XI/2021, une liste avec des comités de rédaction, scientifique et les membres fondateurs du Cerclecad pour inscrire notre œuvre dans la longue durée de l’érudition pluridisciplinaire. Je vais continuer à coordonner avec la même fougue prophétique la fabrication de notre revue en formant progressivement une équipe de jeunes chercheurs déterminés pour prendre la relève, car je ne suis pas éternel. Donc, il n’y a pas de panique, tous les articles ou autres textes adressés à la Présidence du Cerclecad me seront toujours adressés à mes courriels : (benkung01@yahoo.fr & nabiawazi@gmail.com) jusqu’à ce que la relève prenne le flambeau avec érudition et hauteur royale. Rien ne pourra justifier que j’abandonne cette œuvre colossale et érudite du Cerclecad à travers la production de notre revue savante et pluridisciplinaire, « Afroscopie ». Les volumes imposants déjà parus suffisent amplement pour convaincre les sceptiques et convertir les jaloux !!!!
V0/ Alors pour le prochain numéro de notre revue qui paraîtra en janvier 2022 (Benoît AWAZI MBAMBI KUNGUA (Dir.), L’irruption stratégique de la Russie dans la géopolitique africaine postcoloniale. Perspectives épistémologiques, politiques, idéologiques et économiques dans la mondialisation néolibérale, Afroscopie XII/2022, (Revue savante et pluridisciplinaire sur l’Afrique et les communautés noires), publiée par Le Cerclecad-Harmattan, Ottawa-Paris, 2022), la date butoir pour m’envoyer les articles et recensions est fixée au 31 août 2021. Je demande à nos chercheurs de prospecter astucieusement les 11 numéros publiés d’Afroscopie qui contiennent des connaissances transversales et de haute portée cognitive. Je dois exprimer ma grande déception de voir qu’année après année, même nos professeurs et autres chercheurs qui publient dans Afroscopie n’exploitent pas avec conviction nos volumes de 1000 pages chaque année lorsque je relis leurs articles pour le numéro de chaque année. Si les premiers acteurs de notre mission philosophique et émancipatrice ne sont pas convaincus de leur propre érudition et capacité émancipatrice, il y a de quoi douter, et même désespérer !!!!
VI0/ Je ne le dirai jamais assez, c’est d’abord à nos professeurs, étudiants et chercheurs membres du Cerclecad d’utiliser nos ouvrages et revues avec conviction intellectuelle et détermination politique au sein des universités sans bibliothèques et agonisantes partout en Afrique sur fond des arraisonnements maçonniques et des luttes ethno-tribales débouchant sur la paresse intellectuelle et l’ignorance totale. Que nos membres décidés et compétents s’appuient sur nos productions dans leurs fonctions professorales et bibliocratiques. Je ne le dirai jamais assez. Seuls quelques professeurs exploitent intelligemment nos revues et ouvrages déjà publiés dans les articles qu’ils m’envoient chaque année. J’en appelle ici à « l’éthique de la conviction et de la responsabilité » de chacun de nos membres dans les quatre coins du monde. Avant d’être politiques, économiques, idéologiques et militaires, les batailles des Africains au XXIème siècle sont d’abord hautement gnoséologiques et impliquent de facto, une intensification dans la production des connaissances émancipatrices dans une mondialisation des savoirs avec les stratifications sociales et les fractures multiples qui relèguent les Africains dans la subalternité depuis maintenant 5 siècles !
VII0/ Alors, Merci à Dieu qui nous a donné une santé de fer durant de longues années d’érudition pluridisciplinaire, Merci à tous les membres – ils ne sont pas nombreux – qui ont donné leurs cotisations annuelles et leurs contributions intellectuelles avec générosité, dignité et élégance et Merci à nos parents, enseignants de l’école primaire, secondaire et des universités en Afrique, qui se sont acquitté avec abnégation et noblesse de notre Éducation dans des Kléptocraties africaines, ethno-tribales et postcoloniales fondées sur l’allergie à la raison, la haine de la connaissance et les empoisonnements des vrais intellectuels prophétiques dont les œuvres impacteront pour 120 ans l’échiquier philosophique et théologique africain du XXIème siècle,
VIII0/ Je vous invite de lever avec moi un « verre de vin rouge » avec une motion profonde d’action de grâce à Dieu et à nos chers parents et ancêtres qui nous ont éduqués dans l’autodépassement de soi au cœur des épreuves de la vie. Je signale en passant que les meilleurs ‘’phénoménologues du Cerclecad’’ viennent de corroborer que la thèse selon laquelle : « la bière, le foufou, la viande rouge et les feuilles de manioc (Pondou) aggravent le risque de la bedaine en Afrique, les complications cardio-vasculaires, le diabète et la prostate pour les hommes au-dessus de 50 ans. »
Alors de grâce, un verre de vin rouge, et seulement un verre par jour, permet de déconstruire la bedaine qui assoupit l’esprit et de garder une forme physique et un ventre approprié pour l’ascension philosophique, métaphysique et phénoménologique,
« Longue vie à tous les chercheurs du Cerclecad, Longue vie à nos revues et ouvrages ambitieux et érudits et nous serons encore vivants et opérationnels dans 120 ans comme nos Maîtres Moïse et Élie », Oracle du Seigneur par son Prophète Benoît AWAZI MBAMBI KUNGUA,
Salutations présidentielles, prophétiques et phénoménologiques,
Professeur Benoît AWAZI MBAMBI KUNGUA
Prophète-Président du CERCLECAD (Ottawa, Canada)
Courriels : benkung01@yahoo.fr & nabiawazi@gmail.com